La vente de biens immobiliers peut être une entreprise très rentable. Cependant, il est important de rester en conformité avec le code des impôts de l'ARC. Dans ce guide sur les revenus immobiliers canadiens, nous abordons les bases du calcul des impôts liés à la vente de biens immobiliers, et nous partageons plusieurs stratégies permettant de réduire les montants d'impôts qu'une personne doit payer lorsqu'elle vend des biens immobiliers.
L'impôt sur les gains en capital désigne un type de taxe qui doit être payée lorsqu'un actif est vendu à profit. L'impôt sur les gains en capital est payé lors de la vente de biens personnels tels que les biens immobiliers et les voitures, ainsi que de titres tels que les actions et les obligations.
Un gain en capital est réalisé lorsqu'un actif est vendu à une valeur supérieure à son prix de base rajusté (PBR). Le PBR est calculé en additionnant le prix d'achat de l'actif et tous les coûts d'acquisition. Les frais juridiques et les commissions sont des exemples de frais d'acquisition courants.
Aux États-Unis, l'Internal Revenue Service (IRS) fait une distinction entre les gains en capital à long terme et à court terme, le taux d'imposition des gains en capital à long terme étant beaucoup plus faible. Toutefois, cette différence n'existe pas pour l'Agence du revenu du Canada (ARC).
Les personnes qui souhaitent obtenir une réduction de l'impôt sur le revenu au Canada peuvent opter pour une série de stratégies telles que le don à une œuvre de bienfaisance ou le financement d'un REER. En faisant appel aux services d'un expert-comptable, vous pouvez réduire considérablement le montant de l'impôt sur les gains en capital que vous payez.
La comptabilité n'est pas aussi ennuyeuse qu'il n'y paraît
Si l'on pense généralement que les plus-values immobilières sont imposées à un taux de 50 %, ce n'est pas exact. Le chiffre de 50 % fait référence au fait que seule la moitié des gains en capital est imposable. Les taux d'imposition des gains en capital dépendent du montant du revenu perçu.
Les gains en capital provenant de la vente de terrains et d'autres biens tangibles doivent être ajoutés au revenu annuel imposable d'une personne. Ils doivent être déclarés en même temps que l'argent reçu de l'emploi d'une personne, de ses activités secondaires et des dividendes des comptes non enregistrés.
Les personnes mariées ont un avantage sur les contribuables célibataires en ce qui concerne le transfert de biens immobiliers. Si un bien immobilier est transféré à un époux ou à un conjoint de fait, les charges fiscales liées aux gains en capital sont évitées. Le bien est considéré comme un don au moment de la conclusion de la vente, ce qui évite aux contribuables mariés l'obligation de payer la taxe sur les gains en capital.
Lors de la vente d'un bien immobilier au Canada, l'impôt sur les gains en capital doit être payé sur 50 % des bénéfices. Néanmoins, les particuliers peuvent bénéficier d'une exclusion de l'impôt sur les gains en capital si la propriété qu'ils vendent est leur résidence principale.
Une parcelle de terrain et tout ce qui s'y rattache de façon permanente, naturel ou artificiel, est reconnue comme un bien immobilier. Cela comprend les maisons principales, les maisons multifamiliales, les propriétés commerciales et industrielles et les terres agricoles. Les propriétaires de biens immobiliers ont le droit de les posséder, de les vendre ou de les louer.
Les biens personnels tels que les meubles ou les véhicules ne sont pas considérés comme des biens immobiliers. À l'exception de la résidence principale d'une personne, les gains en capital de tous les biens immobiliers sont soumis à l'impôt lors de leur vente. Les personnes qui vendent des biens immobiliers doivent ajouter l'argent tiré de la vente de terrains et de bâtiments à leur taux d'imposition ordinaire.
Une personne qui vend sa maison ne doit pas payer d'impôt sur les gains en capital tant que la propriété était sa résidence principale pendant toutes les années où elle en était propriétaire. Toutefois, si à un moment donné pendant la période où elle était propriétaire du bien, celui-ci n'était pas sa seule résidence principale, elle peut ne pas être exemptée.
Il n'existe pas de taux fixe pour l'impôt sur les revenus immobiliers au Canada. Les taux d'imposition de tous les gains en capital dépendent du montant du revenu acquis.
L'argent provenant de transactions immobilières doit être ajouté au revenu annuel d'un individu. Lorsque vous remplissez votre déclaration de revenus, vous devez inclure les impôts sur les gains en capital en plus de votre revenu normal. Lorsque vous payez vos impôts au Canada, vous devez répartir votre impôt total dans les tranches d'imposition appropriées, y compris l'impôt sur les gains en capital.
Le calcul du taux d'imposition des revenus locatifs immobiliers s'effectue en déterminant d'abord le revenu des loyers. Pour ce faire, il faut multiplier le montant du loyer mensuel par le nombre de mois de l'année, puis diviser ce montant par la valeur actuelle du bien. Les dépenses liées à la location d'un bien peuvent être déduites du revenu locatif, mais cela doit généralement être fait l'année où elles sont payées.
L'équation initiale pour calculer les gains en capital est assez simple. Il suffit de prendre le prix d'achat d'un bien et de soustraire le prix de vente. Ensuite, la moitié du montant du gain en capital est considérée comme imposable.
Par exemple, un bien acquis pour 250 000 $ et dont le prix de vente est de 350 000 $ présente un gain en capital de 100 000 $. Comme seulement 50 % des gains en capital sont imposables, cela signifie que seuls 50 000 $ sur ces 100 000 $ sont soumis à l'impôt. Si le bien est au nom personnel d'un particulier, ces 50 000 $ doivent être ajoutés à ses autres revenus et sont soumis au taux marginal d'imposition de sa tranche d'imposition respective.
Les taxes sur les propriétés commerciales sont calculées d'une manière légèrement différente. Si le propriétaire du bien est une société de personnes ou une société à responsabilité limitée, la partie imposable peut être considérée comme un revenu passif et imposée à un taux différent.
Le code des impôts canadien permet aux contribuables de déduire l'usure d'un bien immobilier pour différer leur revenu locatif. Il s'agit d'une déduction de capital à des fins fiscales, connue sous le nom de déduction pour amortissement. Dans une propriété résidentielle, le bâtiment est la plus grande immobilisation touchée par la déduction pour amortissement.
En revanche, le terrain est exempté de cet avantage fiscal. Si 90 % de la valeur d'un bien appartiennent au bâtiment et 10 % au terrain, alors le coût en capital du bien correspond à 90 % de son prix de vente. Certains équipements peuvent également donner droit à une déduction pour amortissement, mais à un taux de déduction différent. La déduction pour amortissement peut être déduite d'autres actifs, y compris les revenus des biens locatifs.
On peut réduire l'impôt de récupération en utilisant la déduction pour amortissement d'un deuxième bien contre le bien vendu. Si le moment de la vente d'un immeuble de placement tombe dans la même année civile, les pertes en capital peuvent être utilisées comme un crédit d'impôt pour compenser les gains en capital.
De même, l'impôt sur les gains en capital résultant de la vente de biens immobiliers peut être réduit si l'on dispose déjà d'autres actifs immobilisés présentant des pertes en capital non réalisées. Cette méthode de recouvrement des coûts peut être obtenue par des pertes sur des actions ou des fonds communs de placement dans des comptes non enregistrés.
La loi sur l'impôt sur le revenu des personnes prévoit des règles spéciales qui permettent aux propriétaires de réduire les impôts qu'ils doivent payer lorsqu'ils vendent des biens immobiliers.
Comme nous l'avons vu précédemment, les biens à usage personnel utilisés comme résidence principale bénéficient de l'exclusion des gains en capital. Pour être admissible, le bien doit remplir les conditions suivantes:
Tout comme un gain en capital représente l'argent gagné lors d'une vente à profit, la vente d'un bien pour une valeur inférieure à son PBR est connue comme une perte en capital. Non seulement les pertes en capital donnent droit à des déductions standard, mais elles sont également utiles pour compenser les impôts sur les gains en capital.
Il est possible de réduire les impôts dus sur la vente de tout type de biens en capital (pas seulement des biens immobiliers) en appliquant les pertes en capital au montant imposable. Cette méthode de distribution du capital peut être réalisée grâce aux pertes d'autres propriétés, aux investissements dans des comptes non enregistrés et à d'autres formes de capital.
Les coûts nécessaires à la vente d'un bien peuvent être soustraits des gains en capital, ce qui réduit le montant des impôts à payer.
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